dopage dans le trail Lorsqu’on aborde le sujet du trail, la problématique du dopage finit toujours par émerger. On pourrait croire que le dopage est l’apanage des athlètes de haut niveau, mais cette vision ne représente que la partie émergée de l’iceberg. En effet, si des tests de dépistage étaient menés au sein du peloton moyen, on assisterait sans doute à des révélations surprenantes.
dopage dans le trail – Vous vous interrogez probablement sur les moyens d’éviter le dopage. La réponse est en réalité très simple : NE VOUS DOPEZ PAS. Difficile de rendre ce conseil plus clair… Néanmoins, si vous manquez vraiment de jugement et que votre détermination est comparable à celle d’un toxicomane, voici quelques astuces pour pratiquer le dopage sans risquer d’être détecté.
Nos 5 conseils pour pratiquer le trail dopé sans être repéré :
1-Participez à la Barkley
L’austérité de cette course implique probablement une absence de contrôle.
2- Évitez le circuit de l’UTMB et les compétitions en Suisse.
Vous n’y trouveriez pas votre compte.
3- Privilégiez les trails comptant moins de 50 participants.
Votre soif de reconnaissance sera probablement assouvie en surpassant des concurrents indifférents à la victoire. Alternativement, si vous recherchez la notoriété, dominez la compétition puis retirez-vous en invoquant un prétexte fallacieux.
4- Militez pour l’inclusion du trail aux Jeux Olympiques du dopage en Australie
Dirigez-vous vers ce pays. Si vous optez pour cette solution, félicitations. Et de grâce, ne revenez pas.
5- Limitez-vous aux compétitions du World Trail major
Vous pourriez envisager de rejoindre le circuit anti-UTMB ; leur volonté de se distancer pourrait signifier une moindre vigilance ? Admettons que cette supposition soit un peu audacieuse de ma part, je l’admets.